Lithothérapie et géobiologie pour l'apiculture
Si vous avez une ou plusieurs ruches, vous connaissez certainement mieux que moi la vie des abeilles et leur rythme de vie. Elles se débrouillent souvent bien toutes seules (dans une certaine mesure), mais peuvent faire face à des difficultés qui peuvent être internes, gestion du froid, des stocks de nourriture, de l’équilibre ponte et nourriture, essaimage, reine affaiblie etc.. ou des dangers qui viennent de l’extérieur, météo hostile, changement climatique (fluctuations de température, chaleur excessive), parasites, frelons asiatiques ou autres menaces.
Pour aider les abeilles avec la lithothérapie bioénergétique le principe consiste à prendre la colonie comme un individu à part entière et trouver ses faiblesses et blocages. En travaillant avec l’énergie il faudra prendre en compte la colonie comme un « animal unique » en faisant confiance à son intelligence collective, la reine étant le chakra du cœur car sans elle il n’y a pas de centre.
La lithothérapie bioénergétique ne va pas résoudre tous les problèmes d’une colonie, car il s’agit d’une technique et non pas d’une pratique magique. Rendre des forces, déstresser, soutenir, encourager, stimuler, calmer, réconforter telles sont les actions possibles de l’utilisation des pierres qui pourront apporter les informations énergétiques nécessaire à la restructuration émotionnelle et énergétique de la colonie. Etant donné que les abeilles communiquent entre elles avec des signaux vibratoires olfactifs et par l’intermédiaire de leurs danses codées, les vibrations font partie de leur fonctionnement instinctif ce qui leur permettra facilement d’accepter d’être accompagnées par les signatures vibratoires et énergétiques des pierres. Elles vont prendre appui sur ces nouvelles informations pour mieux traverser certaines situations difficiles.
Un autre aspect énergétique important est l’énergie du lieu où le rucher est installé. Toutes les informations d’orientation par rapport au soleil, l’ombre ou l’exposition, les plantes, la nature en général et l’eau qui entourent les lieux sont évidements primordiaux. Mais pour compléter et potentialiser le choix de l’emplacement du rucher, le décodage bioénergétique du lieu importe aussi dans la réussite de la vitalité des colonies. Les anciens connaissaient les lignes d’énergie qui se rencontrent dans la nature. Ils ont bâti menhirs et églises sur ces chemins de forces, les lignes telluriques positives et les courants telluriques. Ils savaient éviter les lignes négatives, les failles et les cours d’eau souterrains. De nos jours, c’est une science du subtil qui est appelée géobiologie.
Lorsqu’on observe avec un œil de géobiologue les lieux où ont été bâtis ou installés les vieux ruchers, on remarque que les anciens ont très souvent choisi de les disposer sur des lignes positives très grandes. Il s’avère que les ruchers sont disposés de manière privilégiée sur le réseau Peyré (lignes or), ou pour certains sur les lignes du réseau Palm (lignes cuivre). Le choix de ces positionnements des ruchers effectué par les anciens apiculteurs était sûrement la conséquence d’expériences empiriques et donnait lieu à une transmission orale. On constate que les mêmes choix ont été réalisés au Maroc, où est bâti le plus grand rucher collectif connu du monde (le monumental rucher d'Inzerki), en Espagne, en Angleterre, en Ukraine, en Turquie et en France.
Regina Martino sera présente à Vaulruz avec une conférence à 15h30 :
Comment aider les abeilles et les apiculteurs de façon naturelle avec le décodage bioénergétique des lieux et l’équilibrage des champs énergétique des colonies et des apiculteurs avec les signatures vibratoires des pierres et cristaux.
SUIVI de la dédicace de son nouveau livre :
Lithothérapie Animale